“Les autorités marocaines feront tout leur possible pour appliquer les recommandations de la meilleure façon”, a affirmé le rapporteur spécial sur la torture, Juan Méndez, devant la Troisième commission de l’ONU, qui a entamé, hier, l’examen des questions liées à la promotion et à la protection des droits de l’Homme.
Le représentant onusien a déclaré que le Maroc a renouvelé son engagement à œuvrer de concert avec les titulaires de mandats, mais il a, toutefois, affirmé que le Royaume utilisait “la torture dans son propre pays et contre des opposants impliqués dans le conflit sur le Sahara”.
Selon son rapport intérimaire, “il y a de nombreuses preuves d'une utilisation excessive de la force. Chaque fois qu'il est question de sécurité nationale, il y a une tendance à utiliser la torture dans les interrogatoires”.
Juan Méndez n'a pas manqué de citer les “nombreux cas de brutalités policières”, ainsi que l'importante présence policière et militaire au Sahara.
“Le Maroc développe une culture de respect des droits de l'Homme qui est un bon point de départ en vue de l'élimination de la torture dans un futur proche”, a estimé l'expert onusien, “mais le pays est loin de pouvoir affirmer qu'il a éliminé la torture”.“Les autorités marocaines feront tout leur possible pour appliquer les recommandations de la meilleure façon”, a affirmé le rapporteur spécial sur la torture, Juan Méndez, devant la Troisième commission de l’ONU, qui a entamé, hier, l’examen des questions liées à la promotion et à la protection des droits de l’Homme.
Le représentant onusien a déclaré que le Maroc a renouvelé son engagement à œuvrer de concert avec les titulaires de mandats, mais il a, toutefois, affirmé que le Royaume utilisait “la torture dans son propre pays et contre des opposants impliqués dans le conflit sur le Sahara”.
Selon son rapport intérimaire, “il y a de nombreuses preuves d'une utilisation excessive de la force. Chaque fois qu'il est question de sécurité nationale, il y a une tendance à utiliser la torture dans les interrogatoires”.
Juan Méndez n'a pas manqué de citer les “nombreux cas de brutalités policières”, ainsi que l'importante présence policière et militaire au Sahara.
“Le Maroc développe une culture de respect des droits de l'Homme qui est un bon point de départ en vue de l'élimination de la torture dans un futur proche”, a estimé l'expert onusien, “mais le pays est loin de pouvoir affirmer qu'il a éliminé la torture”.