Le président algérien a adressé une courte lettre à Mohamed Abdelaziz pour rendre la politesse au chef du Polisario. Même si elle arrive avec retard, ce message de soutien a une portée politique en faveur de la direction du Front et du Maroc.
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Après la réélection scabreuse de Bouteflika à un 4ème mandat présidentiel, le peuple algérien savait à quoi s’en tenir pour la suite des évènements politiques.
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En ce XXIème siècle, il est des crimes des plus abonimables qui sont encore totalement occultés par les instances onusiennes spécialisées en la matière, l’Union Africaine, les ONG’s et associations de défense des Droits de l’Homme, de Protection des Femmes et des Enfants.
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Le Conseil de Sécurité de l’ONU vient, le 29 avril 2014, d’adopter à l’unanimité de ses membres la résolution 2152, présentée par les Etats-Unis d’Amérique, qui proroge le mandat de la MINURSO jusqu’au 30 avril 2015 et qui exclut tout élargissement des prérogatives de la MINURSO aux questions...
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Le dimanche 20 avril 2014, les populations Kabyles ont organisé plusieurs marches simultanées en Kabylie et à l'étranger en commémoration du Printemps Amazigh de 1980 et celui du Printemps Noir de 2001 avec pour mot d’ordre : droit du peuple kabyle à son autodétermination et affirmation de la...
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La nuit du lundi 14 avril a été marquée par une vague de descentes des milices du Polisario dans les domiciles de fortune occupés par les Sahraouis des camps de Tindouf.
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A combien s'éleverait le nombre des Sahraouis dans les camps de Tindouf ? C'est le problème que n'a toujours pas résolu la Minurso.
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Jamais une élection législative ou présidentielle n’aura été aussi absurde que la présidentielle algérienne de 2014.
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La campagne présidentielle algérienne s’est conclue avec une flambée de violences entre populations Mzab (Amazigh) et Châambas (Arabes) dans la région de Ghardaïa.
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La campagne présidentielle algérienne s’achève dans une atmosphère électrique où déception, morosité, promesses, chahutages, manifestations anti-Bouteflika, échauffourées, violences policières et rejet de cette élection en ont été les principales caractéristiques.
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Alors que la campagne présidentielle algérienne arrive à son terme, il serait utile de s’attarder sur ses derniers jours afin d’en deviner l’ambiance qui règnera le jour du scutin mais aussi les suivants.
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Si les deux premières semaines de campagne présidentielle se sont déroulées dans le calme, malgré les très nombreuses manifestations anti-Bouteflika observées dans toute l’Algérie, il n’en est pas de même pour le début de la dernière.
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Entamée le 23 mars 2014, la campagne électorale pour la présidentielle algérienne vient d’amorcer sa dernière ligne droite avant le faux rendez-vous du 17 avril 2014.
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Le Secrétaire d’Etat américain, John Kerry, entame à partir du 02 avril 2014 une visite au Maghreb qui le conduira en Algérie puis au Royaume du Maroc.
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Alors que la seconde semaine de la campagne pour la présidentielle est entamée, on observe que l’ensemble des 05 candidats et l‘équipe du Président-candidat Bouteflika tentent vainement de séduire le peuple Kabyle en lui promettant monts et merveilles.
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Au sixième jour de cette campagne présidentielle algérienne force est de constater que les meetings se succèdent dans une relative indifférence et leurs échos ressemblent à une ritournelle insipide, inodore et incolore.
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Le 23 mars 2014 a débuté la campagne électorale de la présidentielle algérienne qui sétalera sur 22 jours durant lesquels cinq candidats sillonneront le pays pour exposer leur programme.
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A la lecture des évènements qui se sont déroulés au cours des derniers jours, et plus particulièrement ceux de la période 16-22 mars 2014, il ressort que le peuple algérien, unanime, rejette la candidature de Bouteflika et accorde toute sa confiance en la personne de l’ex-Président Liamine...
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A quelques jours du début de la campagne présidentielle, l’ex-Président algérien Liamine Zéroual est sorti de la réserve qu’il s’était imposée depuis son départ de la magistrature suprême.
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Pour Zoubir Benhamouhe*, « le régime va devoir redistribuer toujours plus à plus de monde » mais cette redistribution, explique-t-il, ne changera rien à son rejet par la société.
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Une quarantaine de manifestants ont été interpellés à Alger, jeudi, lors d'un nouveau rassemblement contre le quatrième mandat brigué par le président sortant, Abdelaziz Bouteflika.